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Ambiance étrange, comme une fête foraine, un peu comme si notre homme reprenait l'histoire après..... l
La première chanson est  enlevée, rapide, festive, puis Life is hard comme il dit le Bob, et on retrouve une facture plus classique, mais toujours cette intention de faire de la musique.
Et la voix, rocailleuse, éraillée, mais posée, cette façon devenue habituelle et pourtant...
....On dirait donc que DYLAN est sorti du film I'm not there, juste après la scène avec Richard GERE et la chanson Going to Acapulco.
L'ambiance de la pochette des Basement Tapes, ce recul, cette musique aux accents chicanos, la voix, cette voix plus claire qu'en live, mais qui se pose, survole, décroche la musique.
J'ai écouté deux fois en bloc, forte impression, pas encore décortiqué; mais l'ambiance globale est bonne.
Important l'ambiance, une unité une couleur,
Les images, les sensations du concert d'avril, ce côté, je suis là, je fais un nouveau CD sans le jouer sur scène (et je vous emmerde?)
Qui d'autre que lui peut le faire sans être ridicule?
Y retourner, le prendre chanson par chanson, un nouveau DYLAN, un trésor de plus, une brique sur le mur.
Depuis quelques jours, le Mexique est en alerte médicale, et Dylan sort un CD aux accents...chicanos.
Moi j'en connais qui feront des thèses là-dessus.
Et pendant ce temps là quelque part en EUROPE, il continue sa tournée, comme si rien ne se passait.
L'Angleterre, celle qui pendant la tournée de 1966 hurlait Judas.
Entre LONDRES et CARDIFF, c'est relâche ce soir.
Pour répéter?
A SUIVRE
Tag(s) : #MUSIQUE
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