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Nouvelle année.
Ben oui, j'aime pas faire de bilan le meilleur film, le meilleur concert, le meilleur CD... cela me fatigue de plus en plus, on arrête pas le temps, on ne se retourne pas, l'avenir seul est important, le passé n'existe plus, le présent n'existe pas.
Alors, oui j'ai des regrets, Ne jamais avoir vu The Band, The Byrds, The Doors, Grateful Dead du temps de leur splendeur.
Oui j'ai des rêves, certains ont pris forme, j'attends de recevoir les billets pour le Royal Albert Hall pour voir Clapton un beau jour de mai, je vais revoir encore et encore Bob Dylan, le concert d'anniversaire d'Elliot Murphy...
D'autres rêves sont en maturation, traverser encore un océan, juste un océan ,un tout petit l'océan, voir enfin l'Allman Brothers Band ou Tom Petty, ou un groupe inconnu dans un coin perdu de l'Amérique.
L'Amérique me manque, elle est proche et lointaine, je veux revoir New York, San Fransisco, New Orleans, je veux entendre la voix du diable résonnée dans les rues de Chicago, je veux retrouver cette vibration intense, celle des grands moments, comme ce soir de juin 2008 au Paradisio à Amsterdam, quand la salle raconte son histoire, quand les fantômes déchirent le voile et traversent la scène.
Ben oui, j'aime pas faire de bilan le meilleur film, le meilleur concert, le meilleur CD... cela me fatigue de plus en plus, on arrête pas le temps, on ne se retourne pas, l'avenir seul est important, le passé n'existe plus, le présent n'existe pas.
Alors, oui j'ai des regrets, Ne jamais avoir vu The Band, The Byrds, The Doors, Grateful Dead du temps de leur splendeur.
Oui j'ai des rêves, certains ont pris forme, j'attends de recevoir les billets pour le Royal Albert Hall pour voir Clapton un beau jour de mai, je vais revoir encore et encore Bob Dylan, le concert d'anniversaire d'Elliot Murphy...
D'autres rêves sont en maturation, traverser encore un océan, juste un océan ,un tout petit l'océan, voir enfin l'Allman Brothers Band ou Tom Petty, ou un groupe inconnu dans un coin perdu de l'Amérique.
L'Amérique me manque, elle est proche et lointaine, je veux revoir New York, San Fransisco, New Orleans, je veux entendre la voix du diable résonnée dans les rues de Chicago, je veux retrouver cette vibration intense, celle des grands moments, comme ce soir de juin 2008 au Paradisio à Amsterdam, quand la salle raconte son histoire, quand les fantômes déchirent le voile et traversent la scène.